Fraternities
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilPortailDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion

HELL YEAAAHHHH
Bon, les enfants ont fini de jouer et ont été punis.
Bon retour sur votre forum ♥️

Boss
Le Deal du moment : -28%
Précommande : Smartphone Google Pixel 8a 5G ...
Voir le deal
389 €

 

 ❥ L'amour est loin d'être un long fleuve tranquille ◮ with Samuel.

Aller en bas 
AuteurMessage
Presley T. Scott
F R A T I E N ⊱ ucla student

Presley T. Scott


✎ BLABLA : 149


❥ L'amour est loin d'être un long fleuve tranquille ◮ with Samuel. Empty
MessageSujet: ❥ L'amour est loin d'être un long fleuve tranquille ◮ with Samuel.   ❥ L'amour est loin d'être un long fleuve tranquille ◮ with Samuel. Icon_minitimeSam 25 Fév 2012 - 21:09

Samuel Ҩ Presley
« J’ai lu quelque part que tous les journaux intimes sont écrits par des jeunes filles comme il faut, les plus délurés ont autre chose à faire. Moi j’ai seulement envie de vivre une vie dont je me souviendrai même sans en laisser une trace écrite. »


J'étais là, assise sur mon banc de pierre gelé, comme toujours, ou tout du moins la plupart du temps le samedi après midi entre 15 et 16 heures. J'avais pour habitude d'aller faire les boutiques, vu que ce jour là, je n'avais pas classe, puis de prendre une glace goût vanille, et de la déguster sur le banc où je venais de m'asseoir. J'avais des habitudes que certains qualifierais comme des habitudes de « grand-mère », mais je n'aimais pas ne pas faire mon petit programme de la journée, du moins, qu'il soit contrarié. Malgré l'obligation que j'avais eut durant mon enfance, déménager tous les trimestres, j'étais habituée aux changements, mais à UCLA, c'était différent, je me sentais bien, libre, c'était comme une seconde maison, voir maison tout court, car je n'en avais jamais vraiment eut depuis un certain temps. Quand j'y étais arrivée, je m'étais de suite intégrée, je n'avais eut aucun mal à me faire de nouveaux amis, que ce soit des garçons ou des filles. Les gens étaient accueillant, sympas et tolérants, ils avaient fait preuves d'une grande générosité envers moi, je ne sais d'ailleurs comment les en remercier. Je tenais à le faire, car mon éducation avait été stricte, et pas de moindre, sur le sujet; j'avais été élevé dans une haute classe sociale. Ne voulant pas que ça se voit, je faisais tout mon possible pour que personne ne le remarque, mais pas non plus de là, à manger avec mes doigts, cela me résignait plus qu'autre chose. Je tenais tout de même à la personne que mes parents avaient fait de moi, je leur en étais très reconnaissante aussi.

J'y avais aussi rencontré un garçon, riche, très riche pour être franc. Il était beau, intelligent, rusé, mais un seul hic : c'était un Delta Thêta. Les garçons de cette confrérie étaient réputés pour mettre les filles dans leur lit, pour les histoires d'un soir; mais aussi pour être arrogants et manipulateurs. Et Samuel, lui le montrait bien, il était impassible, impossible de savoir la moindre de ces pensées lorsqu'il te regardait, il pourrait très bien avoir envie de te serrer dans ses bras, comme celle de te frapper. Seules les personnes le connaissant bien pouvaient percevoir ce qu'il voulait et pensait. Il était étrange, mais il se cachait derrière un masque, et la personne qui était cachée, était une personne gentille et généreuse, je le savais, mais peut de gens le savaient, incapables de s'en apercevoir. Samuel et moi nous connaissions depuis longtemps, depuis le collège, bien sûr je n'avais pas passé toute ma scolarité auprès de lui, juste un semestre, avant de déménager encore et toujours. Le jeune homme, étant de famille aisé et très riche, m'avait toujours méprisé et ce, dès le premier instant où nos regards se sont croisés; la raison pour laquelle il ne m'aime pas m'est inconnue, j'aimerais savoir ce que j'ai bien pu lui faire pour qu'il ressente une tel haine envers moi. De mon côté, à l'instant même où j'avais croisé ses yeux bleus océan, je m'y était noyée, un sentiment étrange m'avait envahit, impossible à décrire, au fond, je ne le détestais pas, loin de là. Les insultes volaient à travers les couloirs du collège, cela me tourmentait et me blesser tellement ces voutes verbales était violentes. Puis, suite à mon déménagement, je ne les plus jamais revu, du moins, jusqu'à présent, à l'université. Je ne vous dis même pas la surprise que j'ai eu, en le voyant devant moi, depuis ce jour là, je n'arrête pas d'y penser, à croire que j'avais réussie à l'oublier avec le temps.

Après avoir fait une petite trotte jusqu'à un patté de maison de l'entrée de UCLA, je m'arrêtais devant une librairie, celle où je travaillais, j'avais repéré un livre depuis un moment, que je voulais absolument acheter, bien que je n'avais plus énormément de place dans ma bibliothèque. C'était un livre qui tournait autour d'un univers fantastique et Dieu sait que je ne pouvais pas résister. Je dévorais les livres à une vitesse fulgurante, parfois trop vite même, n'ayant plus rien à lire durant la semaine. J'entrais donc pour l'acheter, je saluais Christine, ma collègue, qui s'occupait de répertorier les livres, pendant que je les classais, rangeais et m'occuper de la caisse. J'adorais mon job à mi-temps et en plus aujourd'hui c'était mon jour de congé, un week-end parfait. Je le payais donc et partis après avoir discuté en charmante compagnie, celle de Christine, je lui dis au revoir. Je remis ma veste qui était mal mise pour bien la mettre. Je partis donc en direction des dortoirs de l'université. Oui, oui, je n'avais pas mon propre appartement en centre ville, pas que je manquais d'argent, non, loin de là, mais je préférais être dans un dortoir avec des gens de mon âge, de mon niveau scolaire, bien que parfois on y trouve des gens spéciaux. Pour le moment, j'étais seule dans ma chambre, sans colocataire, juste une amie dans la porte en face de la mienne, et une au bout du couloir. C'était bien plus simple, pour les cours comme pour voir ces amis, surtout que je ne me voyais pas traverser matin et soir le centre ville.

Pour me rendre au dortoir, je devais passer par le dortoir des Delta Thêta, je ne sais comment je m'étais encore débrouillée. Les dortoirs de ces messieurs n'étaient pas des plus réputés chez les Gamma Psi, il n'était pas bon pour une fille comme moi d'y trainer, surtout que je risquais de voir Drake, cela n'avérait rien de bon. En ce lui, bon nombre de fille y avait perdu leur virginité, ce n'est pas moi qui ferait une chose pareille, surtout si c'était juste pour faire genre. J'accélérais le pas, changeant d'allure, ayant peur de faire une mauvaise rencontre. Bien entendu, tous les garçons de cette sororité n'étaient pas comme ça, heureusement d'ailleurs, mais après tout ce n'était pas mes affaires. Sortie de l'endroit de couchage, j'arrivais à l'entrée des miens. Je relevais la tête, puis BAM, mon regard ce perdit dans un regard océan, magnifique; j'en eus le souffle coupé. Ne pouvant me retenir de laisser échapper un cri de surprise. Samuel se tenait là, à quelques mètres de moi, devant ma porte; mais que faisait-il devant ma porte ? S'il était là, seulement pour m'insulter ou me rabaisser, il pouvait partir, je ne le retiendrais pas. « Regardez qui voilà, manquait plus que toi, pour me gâcher ma journée ! » Je n'avais pas l'intention de y aller de main morte, après tout, pourquoi m'embêter à être poli avec lui ? Vu qu'il ne l'avait jamais été avec moi. Je m'approchais de lui, m'apprêtant à sortir ma clef, pour pénétrer dans ma chambre, mais quelques chose m'en empêcher : ma curiosité. Je voulais savoir pour quelle raison était-il venu jusqu'à ma porte. Je me retournais donc vers lui, prit mon inspiration et lui dis sur un ton assez larmoyant, beaucoup moins agressif que je l'aurais souhaité.« Pourquoi diable es-tu là ? Est-ce encore pour m'insulter ou pour une raison qui m'est totalement inconnu ?! Si c'est pour me rabaisser, personne ne te retient, mais... » Je me stoppais, je restais là, comme une gourde, je ne pouvais bouger, paralysé par son regard, qui me scrutait. Sa façon de me regarder était différente, il avait une autre expression qu'habituellement sur le visage, je ne saurais dire laquelle. Pour une fois, il avait enlevé son masque, il ne faisait plus genre, c'était étrange de le voir ainsi, j'avais un autre regard maintenant. Lorsqu'il avait de nouveau posé ses yeux sur moi, j'avais ressenti la même chose que la première fois, j'étais perdu, je ne savais plus en j'en étais ni quoi penser. Une chose est sûre, il n'était sans doute pas la pour m'insulter.

fiche par century sex.


Spoiler:

1306 mots
Revenir en haut Aller en bas
 
❥ L'amour est loin d'être un long fleuve tranquille ◮ with Samuel.
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» formspring.me/samuel
» Samuel « Attention ! Dérrière-toi !! ... Y a rien »
» Samuel « Attention ! Dérrière-toi !! ... Y a rien »
» Samuel Kylian Lockwood - La vie, comme une boite de chocolat. | 45 % |
» Alexis L. Baranovski ♦ A long time ago, we used to be friend ...

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Fraternities :: Discover the world :: The world :: 4-
Sauter vers: