Je marchais tranquillement dans le parc et regardais tout ce qui m'entourait, herbes, fleurs, arbres, j'avais d'ailleurs constaté que mon arbre préféré avez donner des fruits, des pommes. J'adorais les pommes, même s'il était formellement interdit de piquer des fruits dans les arbres fruitier - pour la simple et bonne raisons que, si tout le monde le faisait, il n'en resterais plus - je jetais un oeil autour de moi et en pris une discrètement. Je pu constatais, seulement après l'avoir pris, que 2 personnes se trouvait à côté de moi, sur un banc. J'aurais pu croire qu'ils auraient laisser échapper une petite remarque, mais non, ils étaient trop occupés à s'embrasser.
J'avançais vers le bâtiment pour aller en cours de...je ne sais plus, Espagnole je crois. Les cours d'espagnole étaient obligatoire dans les études que je voulais pratiquer. Mais, j'aurais pu ne pas en faire; Car d'une, je parle espagnole avec ma grand-mère depuis ma plus tendre enfance, de deux, je déteste cette matière, et de trois, y a pas de trois. Enfin bref, je marchais à un pas régulier quand, j'aperçue, devant le bâtiment Lou et Ryan discuter. Comme j'étais ravie de voir Lou, ma cousine, ça faisait tellement longtemps qu'on ne s'était pas vu. Et Ryan, c'était un de mes amis. Parfois j'avais l'impression que tout deux, quand il était ensemble m'évitaient. Je m’avançais vers eux et leurs dis "Salut, vous allez bien ", Lou, surpris me regarda bizarrement, et ne me répondis pas tout de suite. Ryan, quand à lui me répondis. Lou le fusilla du regard. Etant spectatrice de cette scène, je constatais qu'ils n'avaient pas l'air heureux de me voir. Je ne pu m'empresser de leurs demander "vous m'évitez ?!". En attendant leurs réponse, je me demandais qu'est ce que j'avais bien pu faire pour les contrarier. A moins que ce ne sois pas de ma faute et qu'ils soient simplement énerver pour autre chose. Lou est une Gamma Psi, c'est tout à fait logique, même si nous sommes cousines, que nous nous entendions pas trop. Je contemplais le ciel, qui était d'un bleu pure, d'un bleu azur. Le soleil était lui aussi au rendez-vous. Et l'odeur des arbres, m'était d'une pure . Comment aurions-nous pu ne pas être de bonne humeur dans un temps pareil. Peut-être qu'ils n'étaient tout simplement pas contents que je les gênes. Peut-être que sous un temps pareil ils s'avaient envie d'être seulement tout les deux.
Les retrouvailles ne sont pas toujours des meilleurs