La solitude est le meilleur moyen pour ne pas oublié . [ LIBRE ]

Je ne savais pas exactement quelles heure il était, il devait être dans les environs de 6h30. Mais je ne savais pas non plus ce que je fesais a une pareille heure, à érrée comme un fantôme sans repère au Parc. Je me rappele avoir quittais ma chambre sur un coup de tête, voulant allée marché, persuadée que ça me ferait du bien. C'est pendant c'est moments là que je repensée a elle, celle qui m'a donnée la vie mais qui m'en était retirée beaucoup trop tôt . A chaque fois que je pense a elle, où bien que j'ai un coup blues je ressort cette vielle photo usée que j'ai toujours sur moi de ma mère biologique de ma poche. Je m'asseya sur un banc face a une petite rivière du parc a regarder les canards nagés tous côte à côte. Aprés quelques longue minutes je décida de me lever et de marcher dans un froid givrant à m'en geler le bout des doigts . Après voir bien méditer et répondre au toutes les questions qui se bousculent dans ma tête, je décida de rentré le coeur plus léger . Avant de rentrée je m'arrêta prendre un chocolat avec un croissant à un petit café qui ouvré assez tôt la matin. Je m'asseya sur la terasse a une petite table tout en sirotant mon chocolat et en croquant a pleine dents mon croissant . Je comptemplais le ciel ciel qui était ce matin très gris mélangée a du blanc . L'air frais venais tapais contre mes joues et le vent frais dans mes cheveux et c'était en quelque sortes un sensation agréable, de liberté . Après avoir finis, je resta a la table un petit peu a comtempler le ciel, qui était gris et pluvieux ; un temps a rester coucher sous sa couette . Je vis les premieres personnes arrivée alors je décida de me lever avec mon sac chargée de quelques bouquins. Je ne regardais pas devant quand quelqu'un me bouscula et tout mes livres se renversa. J'eu a peine le temps de tous les ranger que j'entendis cette voix confuse me dire :« Pardon, je ne vous avais pas vu » la personne en question eu à peine finis de m'excusée que cette personna me regarde : « Non, c'est moi . Excusez moi .»