Fraternities
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Bon, les enfants ont fini de jouer et ont été punis.
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 A. Lula Scott ๑ parce que fraternities vaincra! ♥

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A. Lula Scott ๑ parce que fraternities vaincra! ♥ Empty
MessageSujet: A. Lula Scott ๑ parce que fraternities vaincra! ♥   A. Lula Scott ๑ parce que fraternities vaincra! ♥ Icon_minitimeSam 29 Oct 2011 - 10:41

Scott, Ann Lula



Âge: 19 ans
Nationalité: danoise - danemark
Orientation: hétérosexuelle
Statut s'aimer à 9000km, c'est un statut?
Études: 1. sport - football (soccer) / 2. littérature - étude de la littérature étrangère
Groupe: students
Scénario
Personnage inventé


Je dois parler de moi? J'aime pas trop ça, j'ai toujours peur que ça fasse celle qui se vante de ses qualités, ou celle qui se lamente de ses défauts. Mais bon, puisqu'il le faut, autant le faire le mieux possible ; je ne classerai pas mes traits de caractère en positif ou négatif, à chacun de définir s'il estime que c'est une qualité ou un défaut. Ma principale caractéristique? Je suis plutôt timide. Plutôt? Que dis-je! Très timide. En cours, je ne lève jamais la main, je ne pose aucune question, je ne parle jamais. En dehors des cours, c'est à peu près pareil ; sauf avec mes amis, et encore. Et en plus de cela, je suis solitaire et très individualiste. Eh non, on ne me verra jamais avec une horde d'amis derrière moi, pour la simple et bonne raison que je n'ai pas énormément d'amis. Non que je sois méchante, mais les filles toute timides, ça n'attire pas grand monde. J'ai essayé d'en faire une qualité, mais je n'ai pas vraiment réussie. Comme vous savez sûrement – ah non, vous ne savez pas? -, j'ai une fille. Ceux qui sont au courant pourrons se demander comment j'ai fait pour avoir un petit copain (parce que oui, je connais le père de ma fille, et j'ai été – et le suis encore – amoureuse de lui ; non, je ne suis pas tombée enceinte d'un inconnu lors d'une soirée un peu trop arrosée). Mais je ne vais pas m'attarder maintenant sur ma rencontre avec Jorgen.
Une chose très importante dans ma vie, et qui met en avant mon individualisme : le soccer. Mon individualisme se traduirait bien par « équipisme », si ce mot existait, mais en l'occurrence, je ne l'ai pas trouvé dans le dictionnaire. Quand je joue, je ne suis pas du genre « perso », à prendre la balle et ne plus là lâcher jusqu'à ce que j'arrive devant les cages : au contraire, je suis vraiment impliquée dans mon équipe (peut-être même un peu trop). Le football, c'est presque tout pour moi ; ça me défoule, ça me détend, ça me distrait, c'est ma vie : depuis mes 6 ans, jusqu'à maintenant. Alors c'est normal que mon équipe, j'ai envie qu'elle soit soudée, qu'on s'entende bien. L'inconvénient, c'est que du fait que nous nous entendions toutes bien, j'ai un peu du mal à accepter d'autres personnes dans l'équipe (eh oui, je suis individualiste, individualiste = égoïste, conclusion, je ne pense un peu qu'à moi et mon petit bonheur).
Pour continuer sur la lancée de l'individualisme/égoïsme, je vais approfondir un petit peu. Je suis égoïste, c'est vrai, et je ne pourrais pas le nier. J'ai horreur que des choses qui m'appartiennent soient dans les mains de personnes que je ne connais pas. Et je suis un peu réticente sur le fait que des choses qui m'appartiennent soient dans les mains de mes amis ; et pourtant, mes amis, j'ai confiance en eux. Jamais je ne prêterais ma gomme ou mon stylo à quelqu'un, jamais je ne prêterai des habits, jamais je n'achèterais quelque chose à quelqu'un (en dehors d'un cadeau d'anniversaire ou d'un souvenir de vacances), jamais je n'avancerais de l'argent à quelqu'un, jamais, jamais, jamais, sauf exception. Jorgen était cette exception.
Que dire de plus? Que je ne suis pas une fille facile. Certes, ma timidité freine pas mal les garçons, mais pour ceux qui passent outrent, je suis catégorique. Les plans culs, plans d'un soir, ce n'est pas pour moi. Les garçons que je « recalent » me traitent généralement de « petite pucelle » ou d'autres gentillesses de ce genre, mais je m'en moque éperdument. Ils y en a certains que ça attirent encore plus. Ma foi... je les rejettent quand même. Je ne dirais pas que je crois au grand amour, prince charmant et tout le toutim, mais je ne sors pas avec un garçon que je ne connais que depuis « salut t'es mignonne, on sort ensemble samedi? ».
Y aurai-t-il un brin de gentillesse en moi? Avec ma fille oui. Tammy, c'est ma vie, c'est ce qui est le plus important au monde (oui oui, au monde) pour moi, avant le soccer (c'est vous dire!). Donc avec elle, oui je suis gentille. Gentille et innocente, pas le moins du monde égoïste. Avec elle, je suis une autre personne (à moins que je ne sois moi-même?!). Sinon, avec le reste de la population? Oui, je suis plutôt gentille. Mise à part mon égoïsme hypra développé en matière de prêt de mes affaires, je suis une personne plutôt sympa. Du moins, avec mes amis, puisque je n'adresse pas vraiment la parole aux autres personnes. Ah, et la question arrive. Ok, par dieu sait qu'elle miracle, j'ai eu un petit copain. Mais comment ai-je fait pour avoir des amis? Et bien, parfois, je me le demande. En y réfléchissant bien, ce n'est pas si invraisemblable, je ne suis tout de même pas une ermite. Grâce au soccer je me suis fait des amis. Puis grâce aux amis des amis, qui ont appris à me connaître en dehors de ma timidité. Dis comme ça, on pourrait croire que j'ai un tas d'amis, mais ce n'est pas tout à fait vrai. Je dirais plutôt que j'ai une très bonne amie, et deux-trois bons amis. Aux autres, je ne leur parle pas (pas parce que je n'ai pas envie, enfin... si : c'est parce que je suis timide, je n'ose simplement pas). Mais je le vis bien! Surtout que la plupart du temps je reste seule, car la solitude – presque autant que le football – m'apaise énormément. Assise ou en marchant, la musique sur les oreilles ou un livre dans les mains, je peux rester toute l'après-midi esseulée. En revanche, je n'ai pas d'ennemis, vraiment aucun je vous le jure! Je suis plutôt une fille neutre : ou on m'apprécie, ou on m'ignore, ce n'est pas plus compliqué que cela.
Au risque de passer pour la fille ringarde, je n'aime pas trop les fêtes, ou sortir en boite. Je préfère les petites soirées rustiques, avec une ou deux amies, au coin du feu à se raconter des bonnes blagues ou regarder une comédie romantique.
Ah, j'oubliais! Comme le montre mon choix d'étude secondaire, j'aime beaucoup les langues étrangères. Je parle couramment le danois et l'anglais (usa), je me débrouille en allemand, et je sais quelque bribes de français et d'espagnol. Et puis, comme j'étudie la littérature étrangère, vous devez bien vous douter que j'aime beaucoup lire ; que ce soit des romans (fantastique ou littéraire), des nouvelles, des contes, des poésies, des reportages... Tout ce qui est en papier (les livres électroniques, je n'aime vraiment pas, ça perd le charme de la lecture) et qui se lit, j'aime.
Et voilà, en espérant que vous avez bien tout lu, car je ne le répéterai pas deux fois! Je vous l'ai dis, parler de moi, je n'aime pas ça!


Plus grand secret: personne à l.a. n'est au courant, mise à part mes parents. mais tous les élèves de mon ancien lycée, à Aalborg, le savent : j'ai une fille de presque 2 ans, Tammy.
Particularité: j'ai une petite marguerite tatouée sur la hanche droite, avec un T sur le cœur de la fleur.
Fantasme: crier "ON A GAGNé!" devant un stade de foot national, et qu'on m'acclame, m'applaudisse.
Introverti ou Extraverti: introvertie
Rose ou Bleu: bleu (clair)
Amérique ou Europe: europe!
Taille et poids: 1,70m - 54kg


echoo


Âge: 16 ans
Fréquence de connexion: 3-4/7
Où avez-vous trouvé le forum: partenaires de Nameless RPG (:
Avatar: Florrie Arnold
Code du règlement:
Spoiler:
Commentaire: le fo à l'air trop bien :love:




ton histoire


Je suis née un jour de juin, au tout début (le 3 pour plus de précisions). À cette époque au Danemark il ne fait pas trop chaud, pas plus de 25°C ; c'est donc un mois plutôt agréable, ni trop chaud ni trop froid.
Ann Lula Scott est mon nom complet. Lula est un second nom à l'origine, mais je le trouvais plus joli, moins ordinaire et plus moderne qu'Ann, alors lors de mes douze ans, j'ai demandé à ce que Lula soit mon nom principal.
Je suis fille unique, mais mes parents ne m'ont jamais pourrie gâtée. Bien sur, ils ont pu m'acheter plus de choses, ou en tout cas des choses plus chères, mais sans jamais m'acheter tout ce que je désirais.
À l'âge de six ans, je commence à faire du soccer en club. Je n'avais jamais essayé avant, mais mes parents m'ont poussés à aller aux portes ouvertes pour que je voie si cela me plaisait ; je ne les remercierai jamais assez.
Je suis timide depuis mon plus jeune âge, mais c'est en faisant du football que je me fais mes premiers amis.
Je n'ai jamais été un garçon manqué, et je ne le suis pas devenue en jouant au soccer : je continuais à jouer aux poupées ou autres jeux de petites filles, simplement, le mercredi et le samedi après-midi, à la différence de la plupart des filles de mon âge, j'avais des entraînements de foot. Aujourd'hui encore, je continue d'être féminine : faire du football et s'habiller en jupe en dehors n'est pas incompatible!
J'ai commencé à lire vraiment des romans et autres poésies vers mes sept ans, lorsque je suis entrée à la Folkeskole (collège/lycée publique).
Durant l'année de mes douze ans, je suis repérée par une équipe de football. Je joue dans cette équipe, et gagne un bon nombre de match.
Lors de mon grade 8 (année des quartoze ans), je rencontre Jorgen. En réalité, c'est lui qui m'a rencontré. Je ne l'avais jamais vu auparavant – en même temps, je n'avais pas vu grand monde. Dès le premier cours, il s'est assis à côté de moi. Il s'est assis à la table à côté de moi dans la salle de cantine. Il essayait de me parler. Je ne lui répondait jamais. Au bout de deux mois, il m'a dit qu'il me trouvait très mignonne. Je ne lui avais toujours pas adressée la parole – j'en avais eu envie plus d'une fois mais ma timidité m'a rattrapée, et mes mots restaient bloqués dans ma gorge. Au bout de trois mois, il m'a dit qu'il m'aimait. Je me rappelle d'avoir rougi comme je n'avais rougie auparavant. Aucun garçon ne m'avait jamais dit qu'il m'aimait avant Jorgen. Je ne lui avais toujours pas parlé. À partir de ce moment, tous les jours, ils me répétaient qu'il m'aimait. Pas de façon énervante, non pas du tout, de façon douce et attentionnée. Une fois il me chuchotait à l'oreille, une autre fois il m'écrivait un petit mot, une troisième encore il me l'écrivait sur le bras. Je ne lui avais toujours pas parlé. Il n'a pas arrêté de manger à côté de moi le midi. Au bout de quatre mois et demi, il m'a dit qu'il savait que je ressentais la même chose, car je ne l'avais jamais rejeté. Je ne lui ai pas répondu. Il m'a ensuite dit qu'il savait que j'étais très timide, mais que quand on n'aime pas quelqu'un, quand quelqu'un nous énerve, qu'on soit timide ou pas, on le lui fait remarquer, on ne reste pas quatre mois sans rien dire. Je ne lui ai pas répondu. Je ne comprenais pas pourquoi il s'obstinait à rester avec moi, alors que lui avait un tas d'amis. Au bout de cinq mois – je ne lui avais toujours pas parlé –, un midi alors j'allais dans le petit parc environnant le collège – une habitude depuis que j'étudiais ici –, Jorgen, qui me suivait de loin, comme il le faisait depuis le début de l'année, marcha un peu plus vite, arriva à ma hauteur, m'attrapa les épaules, me retourna pour que je sois face à lui, et m'embrassa. Il m'embrassa d'un baiser doux et attentionné, comme il l'avait été pendant des mois. Il m'embrassa tendrement, longtemps. Et je ne m'étais pas dégagée de son emprise, car cela me plaisait. J'étais tout simplement heureuse. Amoureuse. Je ne lui ai pas parlé de la journée. Le lendemain matin, nous nous sommes assis côte à côté dans la salle de classe, comme à notre habitude, je me suis tournée vers lui, je l'ai regardée dans les yeux, et je lui ai dis, pour la première fois que je lui adressais la parole : « Je t'aime. »
Je continuais toujours le soccer. Je continuais toujours à lire.
Nous sommes restés longtemps ensemble. Lors de mon grade 9, un week-end où mes parents n'étaient pas là, j'ai proposé à Jorgen de venir à la maison. Ma maison à Aalborg est toute pittoresque, avec les poutres apparentes, des meubles en bois massif, des tissus de couleurs chaudes, une ambiance feutrée. Nous sommes montés dans ma chambre, et de fil en aiguille, ce qui devait arriver arriva. Nous fument ensuite des plus heureux. Nous ne nous arrêtions pas de sourire, de nous regarder, de nous embrasser, de nous câliner. Et puis, nous avions pris nos précautions, alors tout allait pour le mieux. Nous remîment ça le week-end suivant, cette fois-ci chez Jorgen – ses parents étant partis voir les grands-parents de Jorgen pour l'après-midi et la soirée. Les mois suivants, nous nous voyons le week-end, une fois chez moi, une fois chez lui, lorsque nos maisons étaient libres. Bien sur, elle ne l'était pas tout le temps, mais on s'en moquait ; avoir des relations sexuelles n'était pas le plus important pour nous, du moment que nous étions ensemble, rien d'autre ne comptait. Pendant les vacances d'été, j'avais alors 16 ans et quelques, nous sommes partis tous les deux dans la deuxième résidence des parents de Jorgen : un petit cottage perdu au milieu de la campagne. Un soir où nous nous apprêtions à aller se coucher, Jorgen m'a regardé et m'a dit, avec l'air le plus sérieux du monde : « Je veux un enfant de toi.
On a 16 ans Jorgen.
Je sais. Mais je t'aime. »
Et voilà comment nous avons eu un enfant. Une fille. Tammy était voulue, et nous n'avons jamais regretté de l'avoir eue. Mes parents ont certes été un peu choquée d'apprendre que j'étais enceinte, mais ils m'ont aidés. Neuf mois plus tard j'accouchais d'une petite blonde. Trois mois plus tard, mes parents m'annoncent qu'ils ont tous les deux obtenus une mutation en Amérique. J'étais sidérée. Je leur ai demandé de rester vivre ici, la famille de Jorgen était d'accord pour m'accueillir chez eux ; ils n'ont pas acceptés. Je ne comprenais pas. Je suis donc partie avec eux à Los Angeles, en pleur, et après m'être excusée un bon millions de fois à Jorgen et Tammy, qui ne devait pas comprendre grand chose. Jorgen me répétait inlassablement qu'il ne m'en voulait pas, que ce n'était pas ma faute, qu'il m'aimait et m'aimerait quoiqu'il arrive, et qu'il prendrait bien soin de notre fille.
Pendant deux mois je n'arrêtait pas de pleurer, ou de déprimer ; je ne parlais plus à mes parents, et je redoublais d'entraînement de soccer – que je pratiquais dans un club à L.A. Je suis retournée au Danemark quelques fois depuis que je suis partie. J'ai revu à chaque fois Jorgen, et Tammy. Jorgen n'a jamais eu d'autres petites copines, je n'ai jamais eu d'autres petits copains ; mais notre relation n'est plus là-même. Être séparée par 9 000 kilomètres dont l'océan Pacifique n'a rien facilité. On s'envoie de temps en temps des mails, des coups de fils, mais la conversation tourne généralement sur Tammy. Nous verrons bien comment les choses évoluent avec le temps...
Au Danemark, j'avais failli rentrer dans l'équipe de football féminine du pays ; on m'avait dit « dès que tu as 18 ans, on te prend. » ici, j'ai dû repartir de zéro. Enfin presque ; j'ai rapidement gravi les échelons.
Il a ensuite fallu envisager dans qu'elle université j'allais aller, et « the University of California, Los Angeles » c'est vite imposée. Je pouvais faire les deux disciplines que je préférais le plus : le soccer, et la littérature.
Je me plais bien dans cette université, je me suis fait quelques amis – pas énormément je vous rassure –, et grâce au football principalement.
Je ne suis pas retournée au Danemark depuis le début de l'année scolaire, mais j'essaie d'appeler le plus régulièrement possible pour avoir des nouvelles de Tammy.
Jorgen m'a appelé il y a environ une semaine et a prononcé les mots qui ont illuminés ma journée, ma semaine, mon mois, mon année, ma vie.
« Lula, je déménage à Los Angeles. »


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