Nolan ϟ Broken Pieces of the life I had before

dossier en béton

TAILLE EN CM:		POIDS EN KG:
ÉTUDES:		NIVEAU D'ÉTUDES:
MALADIE:		EMPLOI:
NIVEAU DE VIE:		COMPLEXE:
STYLE (vestimentaire):		POPULARITÉ:	?????

Des soucis avec ta famille ? Des problèmes avec ma famille, non. Des problèmes au sein de ma famille oui. Comme dans toutes les familles je pense. Sachez d'abord que ma mère est une femme exceptionnelle et que je ne connais pas un homme qui ne voudrais pas d'elle et qui ne serait pas heureux à ces côtés. Seulement, elle a choisie mon père. Pour le meilleur et pour le pire, et cela ma mère y tient. Mon père n'est pas du genre fidèle, au contraire, il peine à caché ces nombreuses conquêtes extraconjugales. Les femmes sont des objets pour lui, des passes temps. Il ne leur accordent que peu d'importance, juste assez pour les mettre dans son lit. La seule qu'il respecte, c'est ma mère. Si trompé n'est pas une marque de non respect je vous l'accorde. Leur manège dur déjà depuis trente ans, et malgré les fautes flagrantes de mon père, ma mère s’obstine à l'aimer et à le traité comme un dieu. Ton caractère Chaque évènement de notre vie nous façonne, nous construise. J'ai le caractère que la vie m'a donné. Différentes étapes qui font ce que je suis aujourd'hui. Attentif ? Sûrement du à mon métier, j'ai une grande capacité d'écoute et de compréhension. Je trouve facilement les mots pour aider les autres. Calme ? Il en faut pour m'énerver, et même lorsque l'on me met à bout, j'arrive à tempérer mes émotions et à ne pas m'énerver. C'est pour cela que lorsque j'éclate, il ne vaut mieux pas être dans le coin. Fidèle ? Loyal et fidèle, autant en amitié qu'en amour je suis toujours disponible pour les autres. J'aime pouvoir faire confiance aux autres, d'ailleurs j'accorde facilement ma confiance. Intelligent ? Sans être un génie, j'ai développé le sens de l'observation. J'ai une mémoire photographique et j'arrive à me rappeler très précisément de lieu, ou de visage, de texte. Observateur ? Ma mère disait souvent de moi que je vivais sur la lune. Me croyant distrait, alors que au contraire, j'observe et décrypte tout les faits et gestes de mon entourage en quelques secondes. Réservé ? Cela à toujours été un défi pour moi d'aller vers les autres en dehors de mes patients. Je ne suis pas habitué à la foule. Cependant je ne la rejette pas, au contraire j'aime la présence des autres. Romantique ? Je n'ai pas eu beaucoup de petites amies, mais lorsque j'en ai une, je la traite comme une reine. Séducteur ? Dans l'enfance, j'étais un petit homme, à lunettes et cheveux frisés. Bref le genre de petit garçon souffre douleur de ces camarades. Seulement le vilain petit canard à grandit et on peut dire qu'aujourd'hui je n'ai aucun mal à avoir les filles que je veux. Il faut également savoir que je ne suis pas du genre à me battre, je laisse très facilement l'adversaire gagné.

pseudo: Juju
âge: 18 ans
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avatar: Matthew Bomer
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commentaire: Trop beau forum ^^ J'ai hâte de jouer
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[color=red]?[/color] Matthew Bomer • Nolan J. Wellington

«Allo Maman ...»
«Nolan! ça fait tellement longtemps mon bébé!»
«Oui je suis désolé maman ... J'aurais du t'appeler plus souvent.»
«C'est rien mon chéri, qu'est-ce qui ce passe ? Tu as l'air tracassé.»
«Je rentre à la maison.»
J'entendais sa voix tremblée. Je pouvais sentir à l'autre bout du fil que ma mère avait fondu en larmes. Silencieuse, elle n'ajouta pas un mot. Je savais ce qu'elle pensait, je savais qu'elle était simplement heureuse et sûrement beaucoup trop émue pour pouvoir dire un mot. Sentant mon coeur se serré dans ma poitrine, du à l'émotion que je n'arriverais pas non plus à contenir plus longtemps, je décidais de ne pas m'attarder.
«Elle te pardonneras...»
Figé par ces mots, j'espérais que ce que venait de dire ma mère était vrai. Elle avait toujours sentie les choses, elle avait souvent eu des pressentiments qui s'avéraient être vrai. Des éléments qui me permettaient d'espérer, même si rationnellement, ça ne voulais rien dire. De plus ma mère était une femme à part. Elle, elle avait toujours tout pardonner à mon père, pour son plus grand malheur.
«Je t'aime maman ...»

Je suis né et j'ai grandi dans une petite ville au Texas. Ma mère possédait un ranch qu'elle avait hérité de son père. Mon père lui venait d'une grande ville Manhattan, fils d'un homme important, un businessman qui a fait de son fils son clone. Mon père à tout quitté pour ma mère et à décidé de venir s'installer au Texas dans le ranch familial. Ma mère ne s'imaginait pas qu'elle paierait une lourde dette pour ce geste.
Tout c'est toujours bien passé pour moi. Mon père m'aimait plus que de raison, il m'aurait tout donner et faisait le maximum pour passer le plus de temps possible avec moi. Ma mère elle, m'aurait donner sa vie, je suis son seul fils et le seul enfant qu'elle puisse avoir. Ma mère a toujours tout donner à sa famille, à son mari. C'est une femme dévoué, jolie, amusante, sincère et loyale, mon père s'avait qu'il pouvait tout ce permettre et qu'elle ne le contrerait jamais. C'est d'ailleurs ce qu'il se passa à partir de mes cinq ans.

Flashback

Après avoir finis les cours, j'étais rentré en avance à la maison. Ma mère m'avait laissé une clé qu'elle avait accroché à mon cou au cas où elle ne serait pas là. Mon père lui était en déplacement et ne devait rentré que dans une semaine. J'étais surpris lorsque j'entendit du bruit provenant de la chambre, mais reconnaissant instinctivement le manteau de mon père accroché dans l'entrée, je me précipitais vers cette fameuse pièce. Seulement une voix étrangère ralentie ma course. Une autre personne se trouvait là, une femme en l'occurence. Du haut de mes cinq ans, j'avais compris que quelque chose n'allais pas. J'avais la nausée. Je me hissais sur mes pied pour voir par le trou de la serrure. Mon oeil bleu figé sur la scène que je venais de voir. Mon père embrassait cette femme blonde, une serveuse du café du coin ... Je la connaissais bien, car chaque dimanche on allait petit déjeuner là bas. Mon estomac se serrait, je sentais que ce que je voyais maintenant étais grave.
Une main se posa sur mon épaule. Je sursautais. Un son strident se coinça dans ma gorge, le visage souriant et doux de ma mère à proximité du mien me calma immédiatement. Ce jour là, ma mère garda le sourire. Elle m'emmena ensuite m'occuper des chevaux, jusqu'à ce que la nuit tombe. On ne parla pas de ce qui c'étais passé, on en reparla plus ... comme si ce moment n'avais jamais existé.

Bien d'autres moments comme celui ci arrivèrent par la suite. Mon père couvrait ma mère de cadeau, il ne me disait jamais non. Je me demandais souvent s'il n'achetait pas notre pardon. S'il ne rachetait pas sa conscience. J'avais essayé à plusieurs reprises d'aider ma mère, mais elle ne voulais pas que j'intervienne. Elle ne voulais pas que je gâche ma relation avec mon père, je me sentais parfois coupable de partager une relation si forte avec un homme qui ne respectais pas ma mère. Mais j'essayais de me raisonner en me disant que ce n'étais pas mes histoires.

Après un trajet de trois heures en avion, j'apercevais la côte ouest. Le soleil tapais déjà sur mon visage. Réchauffant peu à peu ma peau. J'étais heureux de retrouvé le soleil de Los Angeles. Cela faisait six ans que je n'étais pas revenu chez moi, j'avais peur que les choses aient changé depuis, j'avais peur de perdre mes repères. La même sensation que lorsque j'avais quitté mon Texas natal. C'était à l'âge de seize ans, j'avais déjà passé toute mon enfance dans cet état et autant dire que me délocalisé sur la côte ouest n'avais pas été une chose facile pour moi. Etant petit j'avais beaucoup de problème à m'intégrer. Je n'étais pas ce qui faisait fureur dans la cours d'école. J'avais les cheveux friser, de grosses lunettes qui grossissaient mes yeux et des dents pas forcément bien rangées. J'avais longtemps souffert du regards des autres, des moqueries, des exclusions. Mais j'avais réussi au fil du temps à m'intégrer à de petits groupes. Le vilain petit canard commençait peu à peu à se transformer en cygne. Et arrivé à mes quinze ans, j'étais déjà le plus populaire du collège. J'alignais les petites copines, celle qu'on aime dans l'insouciance et qu'on quitte pour un oui ou pour un non au bout d'une semaine. Celle à qui on tient naïvement la main dans la rue mais qu'on lâche dès qu'on croise un de ces amis. J'étais ce genre d'adolescent. Et cette vie me plaisait, autant dire que ce n'a pas été facile de devoir tout recommencer dans le temple des apparences qu'est Los Angeles. Je ne m'attendais pas cependant à ce que ma vie soit encore plus belle qu'au Texas. C'est à l'âge de vingt ans que je rencontrais LA fille. Celle à qui je tenais fièrement la main devant tout le monde, celle que je voulais garder pour le reste de ma vie, celle qui me rendait heureux chaque minute que je partageais avec elle.

Flashback

«Hey mon coeur, ça a pas l'air d'aller, qu'est-ce qui se passe ?»
«Hum écoutes Nolan...j'ai quelque chose d'important à te dire.»
«Tu veux me quitter c'est ça ?»
«Quoi ? Non pas du tout !»
«Alors qu'est-ce qu'il y a ?»
«Je...(prenant une inspiration) je suis enceinte.»
«Qu..quoi ? Non c'est pas possible ! C'est une blague ?»
«Malheureusement non...»
«Je suis désolée October, vraiment, mais... »

Je n'avais pas finit ma phrase, je m'éloignais d'elle à reculons. Gardant en mémoire son visage pétrifié et rongé par la tristesse, que je revoyais souvent lorsque je fermais les yeux. J'avais continué à m'éloigné ainsi jusqu'à rentrer chez moi. J'avais préparé mes affaires et j'étais partit le lendemain pour Boston. Je n'avais pas dormi de la nuit.

Je n'étais pas prêt à être père, je ne voulais pas gâcher ma vie et vivre avec le fardeau d'avoir foutu ma vie en l'air. Je ne voulais pas assumer un être vivant et fragile. Je n'étais qu'un gamin égoïste qui ne voulais pas assumer le fait de s'être pris pour un homme. Je n'avais aimer qu'October, je lui avais donner tout mon amour, je n'étais pas prêt à aimer une autre personne comme je l'aimais elle, même si celui ci aurait été mon fils. J'eus la réaction de ceux que je traitais auparavant de lâche, conscient que je faisais partit de cette catégorie maintenant.

Un bruit sourd retentit dans la pièce. Mes lourdes valises étaient venues s'écrasées contre le sol recouvert d'un parquet sombre. Je découvrais ce nouvel appartement que j'avais acheté sans même l'avoir visité auparavant. Un achat fait sur un coup de tête grâce à la magie d'internet qui nous permet d'acheter tout et n'importe quoi sans même l'avoir vu en réalité. J'avais également acheté le mobilier que j'avais fait livrer en mon absence.
Mes yeux scrutaient chaque détail. C'étais parfait, c'étais exactement ce que je voulais. Un coup d'oeil rapide à ma montre et je descendais les escaliers à vive allure.

«Bonjour, je suis Nolan Wellington, je postule pour le poste de psychologue.»
Je n'avais envoyé aucun cv, j'y allais au culot et à la chance. Ma décision avait été prise sur un coup de tête et je n'avais pas réfléchie au poste que je prendrais à L.A. Une chose est sûre je voulais me rapprocher de ma famille, et d'October. Savoir si j'avais un fils qui n'attendais que de voir son père. Essayer d'assumer ce que j'avais fuit six ans auparavant. Par chance, le doyen accepta de me recevoir. J'étais partit à Boston pour des études de droit, pour faire plaisir à mon père et le succéder dans son entreprise. Mais au dernier moment j'avais changé de cursus. Sur un coup de tête là encore. J'avais obtenu mon master avec succès, j'avais un diplôme que j'avais encadré moi même. Déjà prêt à décorer un mur de mon futur cabinet.
«Mr Wellington, vous avez de la chance, aucun psychologue n'occupe le grand bureau qui lui ai pourtant dédier.»
Je le savais, j'avais eu le filon par Matthew le frère d'October avec qui j'étais rester en contact. L'entretien dura une bonne heure, mais vu le sourire satisfait du doyen, je sentais que j'avais toutes mes chances. Cependant une question me déstabilisa.
«Cependant une question me taraude, pourquoi êtes vous partis de Boston ? Vous auriez pu trouver des offres très intéressantes là bas ... La vie paye bien sur la côte Est.»

Flashback

«Qu'est-ce que tu fais ?»
Je rangeais mes affaires à toutes vitesses, les fourrants une à une dans ma grandes valises. Je savais que je ne pourrais pas tout prendre, je prenais alors l'essentiel. Ce qui avait le plus de valeur et d'utilité à mes yeux. Des tee-shirt essentiellement, quatre jean, ma veste ainsi que quelques chemises.
«Tu va où ?»
Je n'étais même pas passé dans la sale de bain, tout ce qui s'y trouvait pouvais facilement se racheter. Je ne voulais pas m'encombré. Ma décision avait été prise. Je partais. Après six ans passé ici, mon master obtenu, des nuits de souffrances à penser à son visage, à sa vie aujourd'hui, à l'existence d'un pseudo fils. J'avais pris ma décision. Je ne pouvais plus passer une seule seconde ici, il fallait que je retourne à L.A. Toute ma vie, mon master, mes offres de postes, les salaires attrayant n'avaient aucunes importances pour moi, car au fond je ne vivais plus depuis six ans. Je n'étais qu'une coquille vide qui continuait son chemin pour ne pas mourir sur le bord de la route. Mais je n'avais plus rien, plus de sentiment, plus de rire, plus de larmes. Plus rien, je me sentais vide, comme si je ne vivais plus, comme si je n'étais plus humain, que je n'avais pas d'âme.
«NOLAN REPONDS MOI!»
Ces mains s'agrippaient à ma veste. Elle me tirait, les larmes coulaient sur ces joues mais je ne ressentais rien. La voir ainsi ne me faisait pas de mal, je ne souffrais pas, ni chaud ni froid. Elle se recroquevillait sur elle même, en larmes sur le sol mais je n'y accordais aucune importance. J'avais passé deux ans avec elle, à essayer de l'aimer à essayer de m'y attaché, mais cela n'avais pas marcher. Je lui avais obéit au doigt et à l'oeil essayant de toutes mes forces de ressentir quelque chose pour elle. Mais la seule chose que je pouvais ressentir était l'indifférence. Je ressemblais à mon père, je couchais à droite et à gauche, avec beaucoup de précautions. Puis je rentrer sans un mot dormir avec une femme qui m'aimait quoi que je fasse. J'essayais de lui faire comprendre, en laissant des indices, des numéros de téléphones, des traces de rouge à lèvre. Mais elle n'avais rien dit. C'étais la première fois que je la voyais pleurer, et je pensais sincèrement que cela me ferait réagir ... il n'en fut rien.

«Je voulais me rapprocher de ma famille, des gens que j'aime ...»
Le sourire du doyen se fit encore plus grand, son regard se posa sur un cadre sur le bureau. Cet homme devait être très attaché à sa famille, sa se sentait. Je savais qu'il céderait à cette remarque. Une poignée de main et j'étais engagé. Un contrat signé et me voilà psychologue de l'université de Los Angeles et ce de manière officielle. Une dernière chose me préoccupais ... Mes retrouvailles avec October.