Fraternities
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HELL YEAAAHHHH
Bon, les enfants ont fini de jouer et ont été punis.
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Boss
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 JOSHUA ♫ Love's even more wild when you're angry

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MessageSujet: JOSHUA ♫ Love's even more wild when you're angry   JOSHUA ♫ Love's even more wild when you're angry Icon_minitimeSam 29 Oct 2011 - 20:02




joshua logan turner



Hello! Je me présente: joshua logan turner. Je suis né(e) le 10 Janvier 1990 et je viens de Los Angeles, quelque part en Amérique, ce qui me fait aujourd'hui 21 ans. Côté coeur, je suis en couple et attiré(e) par les grosses poitrines. D'ailleurs, on dit de moi que je suis une personne plutôt volage de ce côté-ci. Pour en finir avec cette introduction, sachez que je fais partie de la confrérie Phi Epilson et que je suis un personnage inventé


dossier d'étudiant



TAILLE EN CM:POIDS EN KG:
ÉTUDES:ANNÉE:
MALADIE:JOB:
NIVEAU DE VIE:COMPLEXE:
STYLE (vestimentaire):POPULARITÉ: ★★★★★




JOSHUA ♫ Love's even more wild when you're angry Avjoejonaspho3
Des soucis avec ta famille ?


Joshua ne parle plus du tout à son père. Il est assez proche de sa mère, qui essaie de ne pas trop le faire culpabiliser même si il sait qu'elle lui en veut beaucoup, au fond. Sa soeur et lui sont en froid, celle-ci ne se cache pas de lui dire qu'il a tué leur petit frère à cause de ses conneries. Eux qui étaient inséparables autrefois ne sont plus en si bons termes aujourd'hui..

Ton caractère


Joshua est quelqu'un de très calme et de très patient. Mais ça n'est pas pour ça qu'il est replié sur lui-même, au contraire ! Depuis son accident de voiture, il croque la vie à pleine dents...peut-être trop, même. Il fonce tête baissée et ne se préoccupe pas forcément des conséquences de ses actes. C'est la même chose lorsqu'il choisit ses mots, il devrait parfois tourner sa langue deux fois dans sa bouche avant de l'ouvrir. Pourtant avant ce fameux accident, Josh était quelqu'un d'assez réservé qui n'aimait pas trop se mêler aux gens. Mais aujourd'hui, il ne veut avoir aucun regret : la vie est courte et il veut en profiter pleinement ! Il aime faire la fête et faire de nouvelles rencontres : son mot d'ordre : ne surtout pas tomber amoureux. Il passe alors de filles en filles sans s'attacher, tout ce qu'il veut, c'est s'amuser ! Pourtant à la fac, il est très appliqué et très investi : il est en train d’enregistrer son premier album et il y travaille corps et âme ! Il est très talentueux même s'il n'a pas grande confiance en lui à ce niveau là, il se sous-estime peut-être un peu trop d'ailleurs...




vous irl



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où avez-vous trouvé le forum: Je suis là depuis...trèèèèèèèès longtemps maintenant x)
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MessageSujet: Re: JOSHUA ♫ Love's even more wild when you're angry   JOSHUA ♫ Love's even more wild when you're angry Icon_minitimeSam 29 Oct 2011 - 20:02


ton histoire



JOSHUA ♫ Love's even more wild when you're angry Tumblr_lok6emshZj1qhikqno1_500
« Tu ne feras jamais rien de bien dans la vie mon pauvre garçon ! », hurla mon père en me tapant sur le haut de la tête avec mon relevé de notes qu’il avait reçue quelques heures plus tôt de mon école. Ma mère était assise à la table de la cuisine, regardant mon père m’engueuler du coin de l’œil alors qu’elle lisait tranquillement son livre, amenant de temps à autre sa tasse de café à ses lèvres sans rien dire. Je baissais le regard vers le sol en soupirant, je n’étais pas un bon élève, non pas que j’étais fainéant et que je ne voulais rien apprendre, mais j’avais des troubles d’hyperactivité qui faisaient que j’avais beaucoup de mal à me concentrer en classe. « Comment veux-tu devenir quelqu’un de bien si tu as des six en maths et des dix en anglais ? », lança à nouveau mon père avant de jeter mon bulletin trimestriel dans la figure. « Calme-toi, Georges, s’il te plait.. », murmura ma mère sans bouger de sa chaise. J’osais relever la tête vers mon père qui était tout rouge, rouge de colère et un léger sourire se dessina sur mon visage. Sourire, qui ne resta pas longtemps à mes lèvres puisque la main de mon père se claqua violement contre ma joue, me faisant basculer vers la droite. J’apportais tout de suite ma main sur ma joue, douloureuse et je tournais le regard vers ma mère, les larmes aux yeux avant de tourner les talons pour courir jusqu’à ma chambre en claquant la porte de celle-ci. Aylin, ma sœur jumelle se précipita sur moi pour me prendre dans mes bras. Nous avions une dizaine d’années, mais nous dormions toujours dans la même chambre, nous étions vraiment inséparables. Inséparables, mais complètement différents. C’est peut-être ce qui faisait notre force, au fond…nous nous complétions.

Voilà à quoi ressemblait mon quotidien, pendant près de dix ans. Mon père était nerveux, colérique et il s’énervait pour un rien. Et lorsqu’il était en colère, qui s’en prenait plein la gueule ? C’était moi… Et ma mère, elle, ne disait rien. Elle n’osait rien dire, en fait. Il n’y a que ma sœur qui, un jour à décidée d’intervenir, mais elle s’en ait prit une énorme dans la gueule alors je n’ai plus jamais accepté qu’elle prenne les coups à ma place, jamais. Mon enfance n’a pas grand-chose d’extraordinaire, mon père était agent de sécurité dans un grand centre commercial et ma mère professeur de chant dans une école de musique pas très loin de LA. J’ai très vite appris à aimer la musique grâce à ma mère, qui m’apprit dès mon plus jeune âge à jouer du piano et de la guitare. Aylin elle s’intéressait à tout autre chose, elle était fan de mode et dès qu’elle avait un peu d’argent de poche, elle me trainait au centre commercial pour s’acheter de nouvelles fringues. Elle et moi avions un deal : a Noël et à notre anniversaire, nous nous promettions de nous offrir uniquement pour elle, des vêtements et pour moi, des cds. De toute façon, nous nous connaissions assez pour savoir ce que l’un ou l’autre voulait. Nous avions que des amis en communs, nous faisions vraiment tout à deux. Mon père s’énervait souvent de cela d’ailleurs, disant que nous devions apprendre à nous séparer un peu, mais mon père s’énervait toujours pour un rien alors…

Nous avions onze ans lorsqu’un nouveau bébé fit son irruption dans la famille. Un petit garçon, j’étais aux anges et Aylin faisait un peu la tête, elle disait qu’elle devait déjà me supporter moi alors un garçon en plus. Mais elle changea très vite d’avis lorsqu’il naquit, elle adorait s’occuper de Paul. Ma mère avait arrêtée de travailler quelque temps, mais elle prenait toujours le temps de me donner mes cours de piano et de guitare même si j’étais de plus en plus bon. Au lycée, rien d’extraordinaire non plus, je n’aimais pas trop me faire remarquer en classe, sauf lorsqu’on parlait de musique. Mon père continuait ses conneries, de plus en plus même. Son penchant douteux pour l’alcool commençait à franchement empiéter sur sa vie de couple avec ma mère et sur notre vie de famille. Mais pas seulement, aussi en ce qui concernait son travail. Il fut pris à plusieurs reprise complètement saoul au boulot, ce qui lui valut, au bout de trois avertissement de se faire renvoyer. C’est sûrement à ce moment là, que ma mère a enfin pris conscience que mon géniteur était un gros loser. En plus de taper sur son fils qui l’énervait parce que je ne savais pas tenir en place, il buvait et perdait son travail qui était, essentiel pour bien vivre. Nous étions trois enfants, et des enfants, c’est cher. Et mon cher père n’avait pas l’air de comprendre, puisqu’il ne cherchait pas de nouveau travail et sans diplôme, ça n’est pas facile…

Aylin et moi avions 15 ans et Paul 5 ans, lorsque ma mère quitta mon père. Elle l’a carrément mis à la porte et je n’étais pas du tout contre cette idée, c’était la première fois que ma mère se rebellait contre mon père et même si j’étais content, « fier d’elle », je ne pouvais pas m’empêcher de me dire qu’elle aurait pu m’éviter beaucoup de baffes si elle avait ouvert les yeux plus tôt. Mais bon, comme on dit si bien : vaut mieux tard que jamais, n’est-ce pas ? Mais un simple boulot de professeur ne suffisait pas à ma mère de nous nourrir tous les trois, elle dut très vite trouver un deuxième travail. Oui, ma mère se tuait à la tache pour nous nourrir et payer nos études, le logement correctement...plusieurs fois, je lui ai dit de prendre dans les économies que mes parents avaient fait pour m’envoyer à l’université, mais c’est un sacrifice qu’elle n’a jamais voulu faire, et je lui en serait pour toujours redevable. Paul et moi étions assez proche, il adorait jouer au base-ball alors je l’emmenais voir un match tous les dimanches et Aylin s’occupait beaucoup des taches ménagères à la maison avec mon aide, puisque maman était trop prise par le travail. On la voyait peu, mais on pouvait comprendre.

« Quoi, maman c’est une blague ?! », lançais-je ne me précipitant dans les escaliers pour essayer de la retenir. Celle-ci c’était préparée en quelques secondes à partir d’urgence au restaurant où elle travaillait comme serveuse certains soirs pour remplacer une collègue qui ne pouvait pas travailler. « Désolée Josh, mais j’peux pas laisser cette occasion, ça me fera de l’argent en plus, sans compter les pourboires », répondit ma mère en enfilant son manteau. Je me plaçais devant elle, « Mais maman, j’ai une fête ce soir avec Alan, pour une fois qu’on est invité à une fête, tu peux pas me faire ça ! ». Ma mère soupira et se tourna vers moi en ouvrant la porte d’entrée de la maison, « Je suis désolée mon chéri, mais j’ai besoin de ce travail. Alors tu restes ici pour garder ton frère, point. » Et sans rien ajouter, elle quitta la maison. J’envoyais direct un sms à Aylin, pour savoir si elle voulait bien revenir de sa soirée pyjama le temps de quelques heures histoire de garder Paul, mais elle refusa. Je pris alors certainement la pire décision de toute ma vie lorsque je couchais Paul et que je montais dans ma voiture pour aller quand même à cette fête. Mais lorsque je démarrais la voiture, Paul se trouvait face à moi, en tenue de base-ball. « Mais qu’est-ce que tu fous ici Paul ?! », grognais-je en ouvrant la portière du côté passager à mon frère de huit ans. « Je veux voir la fin du match de base-ball, alors autant m’emmener chez mon pote Garry avant d’aller à ta fête plutôt que de me laisser tout seul ? Viens me chercher quand ta fête sera finie, maman n’en sera rien ». J’ai hésité, mais au fond, il avait raison, autant qu’il soit chez quelqu’un que tout seul à la maison. J’acceptais alors en démarrant la voiture pour prendre le chemin de la maison de son ami qui habitait à l’autre bout de la ville.

Il n’a suffit que d’une erreur d’inattention. C’était l’hiver et la chaussée était glissante, la voiture en face de nous avait l’air louche, mais je ne me suis pas assez méfié. Elle a finis par déraper et elle est arrivée droit vers nous. Puis ce fut le noir, jusqu’à ce que je me réveille dans l’ambulance, en panique. Ma poitrine me brulait et je voyais le défibrillateur près de moi qui marchait. J’avais un jambe de cassée, je n’arrivais pas à la bouger sans hurler de douleur. Je pensais alors à mon frère. Paul…je me redressais difficilement malgré les interdictions des ambulanciers avant de voir le corps de mon frère recouvert d’un drap, sa main sortant de celui-ci et pendant dans le vide.

Il était mort.
Et c'était de ma faute.

Les mois qui suivirent l’accident font…les pires de ma vie. Ma mère n’arrêtait pas de pleurer, elle me disait que ça n’était pas ma faute, elle essayait tant bien que mal de ne pas me faire culpabiliser, mais comment pourrais-je ne pas m’en vouloir, franchement ? Si je n’avais pas fait le con en voulant aller à cette fête, notre petit frère serait encore vivant…ma sœur elle, ne voulait plus me parler. Elle m’en voulait, et elle ne se cachait pas de me le dire et de me le montrer. Du jour au lendemain, elle décida de changer de chambre et on déménagea ses affaires dans une chambre de libre. C’est con, mais en 18 ans, je n’avais jamais dormis dans une chambre aussi vide, sans parler avec elle avant de m’endormir. Je commençais petit à petit à faire des conneries, enfin…c’était l’entrée à la fac alors je profitais de cette liberté pour essayer d’oublier. A travers les fêtes, l’alcool. Je suis rentré directement dans la confrérie des Phis. Pourquoi ? Les Deltas ne me correspondaient pas, je n’avais pas leur caractère, au fond et j’étais très appliqué dans ma discipline. Très vite, je suis même devenu le meilleur élève en musicologie de ma classe : j’avais déjà beaucoup d’acquis… je me produisais souvent dans des bars à LA, pour me faire de l’argent et me faire connaître.

Il y avait cette fille, Joyce. Elle était sacrément bonne en musique aussi, et ça me fou en rogne. Surtout son arrogance ; dans un sens elle me faisait me surpasser, je voulais toujours être meilleur qu’elle pour ne pas avoir à l’entendre se venter d’avoir été meilleure que moi. Le pire, c’est qu’elle faisait exactement les mêmes études que moi, musique et photo. Cette sorte de « concurrence » fait bien rire Alan puisque c’est son cousin, mais sérieusement, cette fille me tapait sur les nerfs. J’essayais tant bien que mal d’oublier cette histoire, même si le comportement de ma sœur envers moi ne m’aidais pas. Je n’osais pas trop aller voir ma mère souvent, j’avais tellement honte…et ces traces sur mon torse, du soir de l’accident, sont les pièces témointes du fait que j’ai tué mon frère. Je ne suis pas sur de m’en remettre un jour… J'étais en train de sombrer, sincèrement. Ma seule fierté dans ma vie, était d'avoir réussis à devenir le chef de ma confrérie. Mais à part ça, ma vie était vraiment minable. C'est bien beau d'être un des garçons les plus populaire de la fac, mais croyez-moi, ça n'est pas ça qui fait le bonheur, loin de là. Les fêtes s'enchainaient, les filles aussi et j'étais réputé pour être un sacré coureur de jupons. Et qui dit fête, dit aussi alcool, et drogues en tout genre. Je n'étais pas accroc, mais ça n'était pas pour autant que je m'empêchais d'en consommer pas mal. Les moments où j'étais défoncés étaient les seuls où je me sentais planer et où je me sentais bien : je ne pensais plus à rien, plus au passé ou à mon petit frère mort trop jeune par ma faute.

Et puis....quelque chose d’inattendu arriva.

Il avait fallut d'un peu d'alcool lors d'une fête organisée par les Phis. L’énervante Joyce était présente et au légendaire jeu de la bouteille, nous sommes tombés à devoir nous embrasser...Je me demanderais toujours si c'était l'alcool qui m'avait fait faire ça, ou alors si elle me plaisait vraiment beaucoup, au fond. Enfin...je n'aurais jamais la réponse. Bah merde alors. Je me demandais si sobre, j’y aurais mis autant de conviction. Déjà rien que l’idée de l’embrasser m’aurait été complètement équerrant sobre, alors…qu’est-ce qui m’avait pris ? Pas qu’est-ce qui m’avait pris de l’embrasser, ça non, dans tous les cas je n’aurais jamais voulu la laisser gagner aussi facilement. Si j’avais refusé de l’embrasser, je savais que j’aurais eu des vannes de sa part pendant au moins plusieurs mois, si ça n’est pas plus. C’était plutôt : qu’est-ce qui m’a prit d’aimer ça, surtout ? J’aurais pu me contenter d’un simple bisou rapidos sur les lèvres, mais non, il avait fallut que les choses soient prolongées et ça, au point de me mettre des idées dans la tête. Je sentais les gens qui m’encourageaient autour de moi et lorsque je me levais, assez difficilement en l’amenant avec moi vers la salle de bain, je ne pris même pas la peine de répondre à un mec de ma confrérie me demandant ce qu’on foutait. C’est vrai...je n’avais besoin de rendre des comptes à personnes et c’est d’ailleurs une des choses, si ça n’est pas la chose que je préférais dans le célibat. Etre libre de faire ce que je voulais, quand je le voulais avec qui je voulais sans avoir à rendre des comptes à personne. Je me contentais alors d’emmener Joyce dans la salle de bain. Encore une fois, c’est que quelque chose que je n’aurais absolument pas fait sobre...mais là, je n’étais pas totalement entièrement conscient de mes actes et je me fichais de savoir qui j’emmenais ici, j’en avais juste envie, très envie.

Il faisait assez sombre dans la salle de bain. Je n’avais pas pris la peine d’ouvrir la lumière dans le moment, la seule luminosité venait de la petite fenêtre placée en hauteur avec les rideaux tirés. Je glissais direct mes mains à ses fesses, le pantalon qu’elle avait choisie les moulaient vraiment bien. Joyce retira assez rapidement mon tee-shirt, c’était peut-être le moment que je détestais le plus quand j’emmenais une fille dans ma chambre où alors qu’on arrivait à ce point. Il y avait ces deux marques, sur mon torse. Les deux marques des électrochoques qu’on m’avait faits après mon accident de voiture. Heureusement pour moi, Joyce était trop saoule pour les voir, les remarquer ou alors me faire une blague douteuse là-dessus, je savais que ça m’aurait tout de suite refroidis… Sa main était à ma nuque et je sentais ses doigts glisser dans mes cheveux alors qu’elle hocha la tête – signe en guise de réponse à ma question – avant de sourire malicieusement pour approcher à nouveau ses lèvres des miennes dans un baisé encore plus langoureux et fougueux que celui de tout à l’heure. Je sentais ses doigts se resserrer dans mes cheveux et une de ses jambes s’enrouler autour de ma taille. L’alcool m’avait déjà donné assez chaud mais là…j’étais vraiment bouillant, la situation, elle…tout ça m’excitait vraiment beaucoup.

Ses lèvres toujours sur les miennes, je sentais maintenant ses mains dégrafer ma ceinture pour ensuite laisser tomber mon pantalon le long de mes jambes. Je l’aidais à le retirer complètement lorsqu’elle posait ses mains sur mon torse pour me pousser contre le mur opposé. « C’est tout de même marrant que tu me dises ça alors que tu m’amènes aux chiottes… C’est toujours ici que tu baises tes compagnes ? » . Je me suis mis à rire avec elle et je fermais les yeux en me pinçant la lèvre alors que je sentais ses lèvres se poser dans mon cou, en remontant à mon oreille. Bordel qu’est-ce que c’était bon, rien que ça…je n’osais même pas imaginer comment ça allait être, si nous allions plus loin. Si ? Non, nous allions aller plus loin, j’en avais carrément rien à foutre qu’elle était, certainement la fille que je détestais le plus ici, là j’avais juste envie de la prendre, surtout quand je sentais qu’elle en avait autant envie que moi. Quelqu’un cogna alors à la porte, « Ça va là-dedans ?! Vous deviez seulement vous embrasser à la base !» je fronçais les sourcils en soupirant, je reconnus direct la voix de Shawn à travers la porte. « Bordel on est occupés, dégage ! » , lançais-je en donnant un coup de pied dans la porte face à moi alors que Joyce descendait ses lèvres à mon torse en caressant ma peau jusqu’à retirer mon boxer, « C’est bon… j’ai compris ! Putain, on baise dans les toilettes maintenant et puis on pisse où hein ? J’vais pisser dans ton lit, Turner !» . J’amenais de nouveau mes mains à ses fesses et je soupirais à nouveau, il commençait franchement à me gaver. « J’en ai rien à foutre tu sais ce que ça veut dire être occupé connard ? Alors au lieu de râler, trouve toi une meuf et après on en reparlera » , criais-je en direction de la porte alors que Joyce arrêtait ses baisers pour me regarder en faisant une mine de petite fille pas contente, « On dirait bien qu’il y en a un ici qui a tout compris à la vie ! » .

Je me pinçais la lèvre et je ne pris pas la peine de lui répondre. Je me penchais pour attraper à nouveau ses lèvres en descendant mes mains aux extrémités de son tee-shirt pour lui retirer et j’enroulais mes bras autour de sa taille pour poser mes mains à ses fesses en la poussant à nouveau contre la porte. Je descendais mes baisers à son cou en dégageant ses longs cheveux bruns pour arriver à sa poitrine encore couverte de son soutien-gorge plutôt…sexy. Je continuais de descendre mes baisers en mettant un genou à terre tout en gardant mes mains sur ses fesses que je glissais vers l’avant pour dégrafer son jean que je fis glisser le long de ses jambes. Je continuais d’embrasser le bas de son ventre en m’occupant de retirer sa culotte avec mes dents pendant que mes mains étaient occupées avec ses fesses. Je me redressais alors et j’enroulais une jambe autour de ma taille comme elle l’avait fait plus tôt en glissant mes mains pour caresser entre ses jambes en lui souriant malicieusement. Je repensais alors à ce qu’elle m’avait dit tout à l’heure à propos de « baiser dans les chiottes ». Je me penchais alors pour mordiller le lobe de son oreille en continuant de plus en plus intensément mes caresses pour lui chuchoter, « Fais pas ta prude, j’suis sur que tu t’es déjà fait des mecs dans les chiottes de ta confrérie Spring… »

Après cette nuit, Joyce occupait toutes mes pensées. Non pas que j'étais amoureux, ô non, mais il s'était passé comme...un déclique cette nuit là. Au début, nous évitions d'en parler et nous continuions à nous lancer des vannes pourries dès qu'on en avait l'occasion mais ensuite...pourquoi ne pas juste coucher ensemble ? Nous étions tous les deux célibataire et nous ne voulions absolument pas nous caser. Alors..dès qu'on en avait envie, on s'envoyait un texto avec comme mot de code "96" et on savait qu'on se donnait rendez-vous quelque part.

« Fais gaffe Spring, tombe pas amoureuse de moi.. »
« Dans tes rêves Turner, t'es vraiment pas mon genre ! »

Pourtant, au fil des semaines, nous ne respections plus vraiment toutes nos règles qui étaient :
1. Ne pas se donner de surnoms
2. Ne pas se raconter nos vies
3. Ne pas se dire des mots doux
4. Pas de cadeaux

C'est con, mais quand on passe du temps avec quelqu'un autant qu'on en passait ensemble, même si c'était juste pour "baiser", on fini par s'attacher ou par vouloir en savoir plus... C'est comme ça que j'ai su, pour cette histoire avec Andrea, Claes et Ela...elle ne faisait plus confiance aux hommes, et elle avait trop peur d'avoir encore mal. Je lui racontais alors aussi mon passé, de toute façon elle avait bien remarquée mes cicatrices sur mon torse...On a enfreint la règle numéro 2, puis, la règle numéro 4. Notre relation devint très vite assez...étrange. J'avais le coeur qui battait très vite quand j'étais avec elle et j'avais toujours envie de la voir. J'étais en train de tomber amoureux...une amie me conseilla de ne pas fuir et de continuer à la voir, même si ça pourrait me faire avoir des sentiments concrets pour elle. Mais je préférais fuir, je ne voulais pas tomber amoureux...j'avais peur. Peur qu'on me laisse tomber comme ma soeur l’avait fait, comme mon connard de père ou ma mère...ou encore peur de lui faire du mal comme j'avais fait du mal à mon petit frère..

C'est d'un accord à accord, que nous décidions de mettre fin à cette relation. On trouvait tous les deux la situation trop bizarre...mais je compris que c'était trop tard : j'avais des sentiments pour elle, c'était indéniable. Pourtant, Joyce ne voulait pas me laisser l'aimer, elle avait trop peur, pas assez confiance...elle voulait qu'on soit "juste amis". Au départ je n'étais pas trop pour cette idée, mais c'était soit ça, soit nous arrêtions de nous voir définitivement... alors je devais juste m'y faire et puis c'est tout. Joyce m'avait offert une chaine, qui appartenait à son père, c'est ça qui me faisait espérer : d'après Ela, si elle m'avait offert ça, c'est que j'étais important pour elle, car cette chaine était une des seules choses qui lui restait de son père décédé lorsqu'elle était enfant.

« J'ai jamais été à Disney...»
« Moi non plus...on y va ?»
« Pourquoi pas...c'est ce que des amis font, n'est-ce pas ? »

Ce voyage à Disney...c'était la première fois qu'on allait à ce parc, en Floride. On avait loué une caravane dans laquelle on dormait dans le parc...le premier jour, nous avions beaucoup ris mais nous sommes vites rentrés à cause de l'orage qui menaçait de gronder. Nous étions tous les deux dans la caravane quand il commença à pleuvoir des cordes et que les éclairs jaillirent du ciel noir. Joyce sursauta une fois, puis deux, elle tremblait de la tête aux pieds...elle avait peur de l'orage. Je pris alors une couverture et je nous enroulais à l’intérieur, en la gardant dans mes bras. Elle tremblait de partout et sursautait dès que l'orage grondait. La jeune femme agrippait à moi comme elle me pouvait, je glissais mes doigts dans ses longs cheveux..
« Mon père faisait ça, aussi, quand j'avais peur...» , murmura-t-elle. Je me reculais pour la regarder, il faisait assez sombre mais je commençais à connaître assez son visage pour imaginer quels traits j'aurais pu apercevoir.. « Tu veux que j'arrête...?» , avais-je demandé, hésitant et craintif d'avoir fait quelque chose de mal. Elle hocha la tête et se replaça contre moi, bien dans la couverture. Par la suite, j'avais réussis à la faire rire et à lui faire oublier l'orage. « Si j'arrive à te faire rire, j'ai le droit à un bisou !» , avais-je annoncé en riant, puis je me suis mis à la chatouiller, elle me repoussait du mieux qu'elle le pouvait en essayant de ne pas rire, jusqu'à me faire tomber du canapé. « Hey ! mais ça fait mal, regarde je saigne du nez ! » . La jeune fille éclata de rire et j'allais passer mon visage sous l'eau puis je revins avec un énorme sourire aux lèvres...elle avait rit. J'ai alors eu le droit à mon baiser...et pas un court, je ne voulais plus m'arrêter, j'avais trop soif de ses lèvres, ses quelques jours loin de LA, rien que nous deux, m'avaient permis de confirmer mes plus grosses craintes : j'étais vraiment amoureux d'elle. Au bout de quelques minutes, Joyce me stoppa et elle me regarda dans les yeux... « J'y arriverais pas...» , murmura-t-elle. Je la regardais, j'avais peur qu'elle me jette et qu'elle me dise encore qu'elle ne voulait pas qu'on essaie d'être un couple..Je lui demanda alors elle n'arriverait pas à quoi ? Elle se pinça la lèvre et me répondit ;

« J'n'arriverais pas à être juste ton amie...»

Nous étions un couple, et je pourrais dire que Joyce est la meilleure chose qui me soit arrivée. J'arrête les fêtes, les filles, l'alcool, la drogue...je ne regarde plus les autres filles, je n'ai d'yeux que pour elle, vraiment. Elle me soutient et même si elle a eu beaucoup de mal à me faire confiance et à assumer notre amour, aujourd'hui, elle l'assume et elle me le dit : elle m'aime, et elle me fait confiance.


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Dernière édition par Joshua Logan Turner le Sam 29 Oct 2011 - 20:04, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: JOSHUA ♫ Love's even more wild when you're angry   JOSHUA ♫ Love's even more wild when you're angry Icon_minitimeSam 29 Oct 2011 - 20:04

tous les chemins mènent à frat, j'aime :nat: welcome back (:
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Ryan T. Cooper
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✎ BLABLA : 202

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MessageSujet: Re: JOSHUA ♫ Love's even more wild when you're angry   JOSHUA ♫ Love's even more wild when you're angry Icon_minitimeSam 29 Oct 2011 - 20:06

Ouuui tu es revenu ! :D
Faudra qu'on change notre lien parce que finalement je veux pas qu'on soit ennemis ! xD Même au contraire ! :D BEST FRIEND !! xD

Bref, en tout cas rebienvenue ! :D ♥️
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MessageSujet: Re: JOSHUA ♫ Love's even more wild when you're angry   JOSHUA ♫ Love's even more wild when you're angry Icon_minitimeSam 29 Oct 2011 - 20:09

Joshuaa !
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MessageSujet: Re: JOSHUA ♫ Love's even more wild when you're angry   JOSHUA ♫ Love's even more wild when you're angry Icon_minitime

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